Pourquoi redistribuer les richesses ?
Il faut être bien conscient de trois choses importantes
L’inflation ronge notre pouvoir d’achat, et c’est notamment vrai pour des choses dont nous ne pouvons nous passer, comme l’énergie ou les transports.
Elle est particulièrement marquée depuis quelques années, et ce n’est pas près de s’arrêter.
L’évolution des technologies fait disparaître des emplois.
Même si d’autres se créent, il n’est pas évident si l’on est concerné, de pouvoir se reclasser.
La grande majorité des gens ont une seule et unique source de revenus.
Une source peut toujours diminuer, voire se tarir.
C’est alors toute la vie du foyer qui s’en trouve impactée.
Dans son livre « Père riche, père pauvre », Robert Kiyosaki explique qu’il y a 4 façons de gagner des revenus.
E : comme Employé : vous avez un job. Vous échangez votre temps contre un salaire ;
T : vous travaillez en indépendant, vous vous êtes créé votre propre job. Vous facturez votre temps ;
B : vous possédez un système, des gens travaillent pour votre compte, ou un système produit pour vous ;
I : comme Investisseur : vous faites travailler votre argent pour vous.
Le cadran du cashflow
95% de la population se répartit 5% des richesses, tandis que 5% de la population accumule 95% des richesses.
Pour s’enrichir davantage, il faut sortir de la colonne de gauche du cadran, pour aller vers la colonne de droite.
Les investisseurs l’ont bien compris, qui ont mis en place un système qui travaille pour eux, même quand ils dorment ou qu’ils sont en vacances.
Nombre de salariés, pour de multiples raisons, passent dans le quart des travailleurs autonomes. Ce faisant, ils échangent toujours leur temps contre de l’argent. Et beaucoup restent hélas souvent en galère financière.
Passer dans la catégorie des Investisseurs, et ne plus avoir besoin de travailler pour vivre, et vivre bien de préférence, peut néanmoins prendre du temps, et quelquefois nécessiter pas mal d’argent.
Encore faut il y croire et en avoir envie, sortir de sa zone de confort…
L‘image parle d’elle-même.
En même temps, on ne peut pas leur en vouloir; nous sommes conditionnées par notre éducation.
« Il faut bien travailler à l’école, pour avoir un bon métier et une bonne retraite. »
Qui n’a jamais entendu cette parole, que l’on pensait pleine de bons sens, en laquelle j’ai cru moi aussi, et que j’ai en toute bonne foi inculquée à mes enfants.
C’était sans doute vrai à une époque, aujourd’hui révolue.
D’une part, les avantages d’un « bon métier » se sont réduits comme peau de chagrin. Et par voie de conséquence, la retraite est devenue aléatoire.
D’autre part, d’autres formes d’activités se sont développées, portées par la dégradation du salariat, et boostées par la perspective d’avoir une vie meilleure.
D’accord. Et on fait quoi ?
Eh bien, on rejoint la communauté Ushare !
C’est gratuit !
Et on choisit ses plans pour générer des revenus passifs et récurrents selon ses envies et possibilités.
Le marketing relationnel est une alternative intéressante, qu’on peut exercer à temps partagé, en gardant son job alimentaire pour faire bouillir la marmite, au début du moins. C’est d’ailleurs un conseil de Robert Kiyosaki himself.
Ça n’est pas fait pour tout le monde, mais ça marche très bien pour celles et ceux qui sont motivés.
L’objectif de ce site est vous présenter des solutions pour vous libérer des croyances limitantes, vous permettre de générer des revenus passifs et récurrents, et vous mettre, vous et ceux qui vous sont chers, à l’abri des intempéries.
